Saturday, November 05, 2005

Questionnaire (bis repetita)

Cloporte m’a demandé de remplir le questionnaire aussi, pour comparer nos réponses. Comme on ne se consulte pas, on verra si on est en accord ou pas.

1) quand vous avez le mal du pays, quel est votre remède?Chercher s’il reste des ovomaltines dans le placard à nourriture. Attendre le samedi pour faire une vidéoconférence avec mes parents (même si on n’a en général pas grand-chose de neuf à se dire).

2) Quand vous croisez des TOURISTES Français dans la rue, ou ailleurs, votre réaction?Les écouter pour voir ce qu’ils disent tout haut (en général, les touristes français parlent fort, considérant que personne ne les comprend).

3) Comment cultivez-vous votre exception culturelle?Parler français à la maison. Faire écouter nos CD de musique française aux collègues (en échange de leurs CD préférés).

4) Intégration Française (marche ou crève) ou Américaine (marche à l'ombre)?Intégration Américaine – le meilleur moyen, à mon avis, d’apprécier un pays est de s’y intégrer au maximum en fréquentant les gens locaux et d’éviter, si possible, de voir des expatriés.

5) News Américaines ou Françaises?Bof…on n’est pas très News. Alors, news Américaines et Françaises par internet, quand j’ai  le temps.

6) Consommateur US ou Français?Consommateur US, mais bien content quand la famille envoie ou amène des gâteaux (pépitos, granolas).

7) Ce qui vous manque les plus (3 max):
La famille. Les bars (enfin, on n’aurait surement pas le temps d’y aller en France). Les granolas
8) Ce que vous voudriez ramener en France en cas de retour définitif (3 max).Les services (au supermarché par exemple). Les entreprises sans syndiqués, les villes de 500,000 habitants sans embouteillage le matin pour aller au boulot et le soir pour rentrer.

9) l'expatriation, est-ce une tradition familiale, un choix (ou obligation) d'études ou de travail, un rêve, un besoin de partir loin de la famille....?
L’expatriation, c’est à la fois une envie et une occasion. Mais, surtout, c’est l’impression que l’on aurait regretté par la suite si on n’avait pas essayé.